Par quel moyen l’alarme est détectée ?

Alarme volontaire

Le travailleur isolé active lui-même une alarme en pressant un bouton de son mobile. C’est la seule alarme qui n’est pas suivi d’une pré-alarme.

Alarme automatique

L’électronique de nos mobiles permet d’analyser en permanence les positions du travailleur. En fonction des paramètres définis, les alarmes automatiques sont déclenchées afin de signaler les situations anormales. Ils existent plusieurs catégories de situations :

Perte de verticalité

Le dispositif que le travailleur isolé porte sur lui détecte son inclinaison. En position verticale, il est considéré comme actif et en situation « normale ». Lorsque le Dispositif d’Alerte du Travailleur Isolé (DATI) se trouve en position horizontale, une alarme est transmise. Deux paramètres sont modifiables :

  • L’angle d’inclinaison activant la perte de verticalité.
  • La durée à partir de laquelle la situation est considérée comme anormale.

C’est deux paramètres permettent d’affiner la détection et de fiabiliser les remontées d’alarmes automatiques.

Immobilité

Le dispositif que le travailleur isolé porte sur lui détecte les mouvements. Une absence de mouvement trop longue est considérée comme anormale, une alarme est alors transmise.

L’optimisation se fait au travers du paramètre de durée à partir de laquelle le système se déclenche.

Chute libre / Impact

Les mobiles de dernières générations sont dotés d’accéléromètres. Nos algorithmes permettent de différencier :

  • Une chute libre d’un mouvement rapide de haut en bas.
  • Un impact d’un arrêt suivant un déplacement rapide.

Ces nouveaux modes de détection, issus des dernières générations de matériel, sont essentiels à la protection du travailleur isolé.

 

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Définition : PTIJurisprudencePérimètre d’application du PTIRèglementationPTI à la loupeType d’alarme